Accompagnements et professionnels de santé
Le système de soin est organisé en 3 lignes en fonction de la difficulté à poser le diagnostic. Il faut commencer par se renseigner auprès de professionnel·le·s de première ligne, qui redirigeront si besoin vers les lignes suivantes.
Le réseau d’alerte peut repérer les signes d’un TND et orienter vers une prise en charge. Il comprend :
Le réseau de diagnostic « simple » est structuré autour d’équipes pluridisciplinaires joignant leurs compétences afin d’affiner le diagnostic et la prise en charge.
Les bilans neuropsychologiques, parfois chers, ne sont jamais obligatoires. Seul·e un·e médecin peut poser un diagnostic.
Le réseau de diagnostic « complexe » permet d’obtenir une expertise complémentaire, si nécessaire. Il comprend :
Il est possible d’être suivi par un·e psychologue ou un·e neuropsychologue, mais un·e médecin psychiatre peut aussi remplir ce rôle.
Les dimensions d’écoute et de soutien peuvent aussi être trouvées auprès de psychopédagogues, d’éducateur·ice·s spécialisé·e·s, de psychomotricien·ne·s et de certain·e·s ergothérapeutes.
Il est possible pour un·e médecin généraliste et pour un médecin·e du travail de proposer un accompagnement médicamenteux.
En revanche, c’est surtout le rôle d’un·e médecin psychiatre ou d’un·e médecin neurologue de le faire dans le cadre des TND.
Il est possible de consulter un·e assistant·e de service social (via votre mairie), mais d’autres professionnel·le·s peuvent vous orienter vers les bons services (par exemple vers la MDPH).
iMIND, centre d’excellence des troubles du neurodéveloppement chez l’adulte
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